Mes expertises
Prise en charge de la douleur cancéreuse et non cancéreuse
Après la fin de ma spécialisation en cancérologie, en 1992, je me suis intéressé à la prise en charge de la douleur. A cette époque celle-ci était très mauvaise. Les formes de morphine faciles à utiliser venaient d'être commercialisées et peu utilisées en France. J'ai donc en 1995 et 1996 obtenu la Capacité d'Evaluation et Traitement de la Douleur de la Faculté de Médecine de Strasbourg faisant de moi un des rares cancérologues spécialistes de la douleur en France.
J'utilise à la fois des approches pharmaceutiques et non pharmaceutiques comme la photobiomodulation.
Source Vidal
Soins palliatifs
Mon combat pour le développement des soins palliatifs en France a démarré en 1992. Pendant mon DCEM je travaillais comme aide-soignant et infirmier pour payer mes études notamment en néphrologie et en onco-hématologie ; j'y ai vu la souffrance de fin vie. La démarche palliative n'était pas mise en place dans ces services. Pendant mon internat à Lyon j'ai rencontré le Pr René SCHAERER fondateur du mouvement JALMALV (Jusqu'à La Mort Accompagner La Vie)
Je devenais le premier vice-président de JALMALV Strasbourg créé en 1992 et en 2000 j'ai eu l'honneur de succéder au Pr SCHAERER à la présidence de la Fédération JALMALV.
En 2005, je faisais parti des personnes auditionnées à l'Assemblée Nationale et au Sénat lors de la préparation de la loi Leonetti.
Je suis l'actuel vice-président de Aujourd'hui La Vie à Dunkerque.
Je suis responsable du service d'Oncomédecine de la Clinique de Flandre à Dunkerque qui accueille de nombreux patients en soins palliatifs.
Soins de support
En 2005, les acteurs des soins palliatifs se son réunis pour développer les soins de support à la "française". A cette époque j'étais vice-président du GRASPHO qui est devenu l'AFSOS (Association Francophone de Soins de Oncologique de Suppport).
La définition des soins de support de l'AFOS repris par la Haute Autorité de Santé est "Traduit de l'anglais « supportive care », le terme « soins de support » désigne « l'ensemble des soins et soutiens nécessaires aux personnes malades, parallèlement aux traitements spécifiques, lorsqu'il y en a, tout au long des maladies graves »"
La prise en charge des patients doit être globale tant sur le plan physique que psycho-émotionnel et mental nécessitant de coordonner des parcours pour faire bénéficier au patient le bon soin au bon moment.
Oncologie Intégrative
En 2005, les acteurs des soins palliatifs se son réunis pour développer les soins de support à la "française". A cette époque j'étais vice-président du GRASPHO qui est devenu l'AFSOS (Association Francophone de Soins de Oncologique de Suppport).
La définition des soins de support de l'AFOS repris par la Haute Autorité de Santé est "Traduit de l'anglais « supportive care », le terme « soins de support » désigne « l'ensemble des soins et soutiens nécessaires aux personnes malades, parallèlement aux traitements spécifiques, lorsqu'il y en a, tout au long des maladies graves »"
La prise en charge des patients doit être globale tant sur le plan physique que psycho-émotionnel et mental nécessitant de coordonner des parcours pour faire bénéficier au patient le bon soin au bon moment.
Elle considère que le patient est un acteur important dans la gestion de sa santé et des soins qu’il reçoit
Bagot JL, Theunyssen I, Mouysset JL, Wagner JP, Toledano A. La santé intégrative : définition et exemples de mises en œuvre. Revhom. 2021 Déc ;12(4 ): 215-21
Interventions Non Pharmacologiques
Le principe de base de la santé intégrative est de prendre le meilleur du monde "scientifique biomédicale" et des approches holistiques non pharmacologiques ou médicamenteuse ; par exemple la photobiomodulation est une technique d'intervention non pharmacologique que je pratique
Source Vidal